Sondage national sur la santé mentale au Canada :
21 sondages de notre série nationale en cours
Le sondage national de la RSMC s'inscrit dans le cadre d'un effort pluriannuel visant à suivre les défis en matière de santé mentale posés par le COVID-19 et au-delà. L'objectif des sondages de la RSMC est de recueillir la perception qu'ont les Canadiens de leur niveau d'anxiété et de dépression, et d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale tout au long de la pandémie et au-déla.
Notre dernier rapport révèle de nouvelles informations sur les troubles de l'alimentation, le stress lié aux médias sociaux et le besoin actuel de connaissances en matière de santé mentale.
Ce sondage explore des domaines émergents tels que les troubles de l'alimentation, l'impact des médias sociaux et la conscience qu'ont les Canadiens de leur propre santé mentale :
Nouvelles perspectives sur les troubles de l'alimentation : notre dernier sondage met l'accent sur les troubles de l'alimentation, révélant qu'un tiers (33 %) des Canadiens font état de pensées et de comportements correspondant à un trouble de l'alimentation ou présentant un risque élevé de développer un tel trouble. Les femmes (29 %) sont plus susceptibles que les hommes (18 %) d'adopter ces comportements, tout comme les jeunes Canadiens (45 % des moins de 35 ans) et les membres des communautés 2SLGBTQ+ (48 %).
Stress lié aux médias sociaux : Les médias sociaux restent une source importante de stress pour de nombreux Canadiens, 36 % des utilisateurs se sentant stressés parce qu'ils se comparent aux autres, entre autres effets négatifs sur la santé mentale.
Reconnaître le besoin de connaissances en matière de santé mentale : Seuls 32 % des Canadiens se sentent très à l'aise pour reconnaître les signes d'une mauvaise santé mentale chez eux. Il reste nécessaire d'améliorer la connaissance de la santé mentale et de réduire l'autostigmatisation, 54 % des personnes interrogées n'ayant qu'une confiance modérée et 8 % avouant n'avoir qu'une confiance limitée.
Nos dernières données montrent que les effets négatifs quotidiens des symptômes de santé mentale atteignent un niveau presque record et que l'accès au soutien est en hausse.
Les résultats révèlent des informations importantes sur les indicateurs de santé mentale et les tendances émergentes :
Les effets négatifs des symptômes de santé mentale atteignent un niveau presque record : Plus d'un Canadien sur quatre (28 %) déclare que ses symptômes de santé mentale affectent son fonctionnement quotidien, ce qui représente le pourcentage le plus élevé enregistré depuis le milieu de la pandémie. Plus d'un tiers des répondants indiquent que les symptômes de santé mentale perturbent divers aspects de leur vie, notamment le travail/l'école (40 %), la vie sociale/les loisirs (33 %) et la famille/la maison (36 %).
Le jeu problématique à haut risque au Canada : 7 % des Canadiens présentent un risque élevé de jeu problématique, avec un taux plus élevé de 15 % chez les 18-34 ans. Les personnes qui présentent un risque élevé de jeu problématique sont plus susceptibles d'être confrontées à de graves problèmes de santé mentale, dont 22 % ont planifié une tentative de suicide, et présentent des taux plus élevés de dépendance à l'alcool (38 %) et au cannabis (49 %) par rapport aux non-joueurs.
Tendance à la hausse de l'accès au soutien en matière de santé mentale : Davantage de Canadiens ont eu recours à un soutien en matière de santé mentale au cours de l'année écoulée (16 %), ce qui représente une augmentation de 5 % depuis l'été 2022.
Des niveaux élevés de résilience : Près de sept Canadiens sur dix se disent confiants dans leur capacité à surmonter les difficultés (68 %), ce qui représente le pourcentage le plus élevé enregistré depuis le début de cette série de sondages. Bien que les jeunes Canadiens soient moins optimistes, les niveaux de résilience ont augmenté dans tous les groupes d'âge.
Ce sondage révèle une augmentation des indicateurs négatifs de la santé mentale chez les Canadiens, ainsi que de nouvelles perspectives tirées du sondage 19.
Les conclusions portent sur les indicateurs de santé mentale ainsi que sur des sujets inexplorés jusqu'à présent :
Ce sondage révèlent les pires indicateurs d'auto-évaluation de la santé mentale depuis la fin de la pandémie, avec plus d'un Canadien sur dix se déclarant très anxieux ou dépressif. Nous avons noté une augmentation significative de la dépression, due à des taux plus élevés en Alberta et en Ontario.
Les questions sur le temps d'écran révèlent une corrélation significative entre un temps d'écran personnel élevé et des indicateurs de santé mentale négatifs. Si l'impact négatif des informations quotidiennes sur la santé mentale s'est légèrement amélioré par rapport à la période de la pandémie, l'impact des médias sociaux s'est aggravé.
Plus d'un Canadien sur quatre (27 %) vit actuellement avec une douleur chronique, la majorité d'entre eux déclarant qu'elle a un impact quotidien et débilitant sur leur vie. D'autres informations explorent l'intersection de la douleur chronique et de la consommation d'opioïdes.
Les Canadiens se préparent à affronter les difficultés financières liées aux fêtes de fin d'année : La gestion des dépenses saisonnières suscite de plus en plus d'inquiétudes.
Les résultats soulignent une préoccupation dominante qui touche de nombreuses familles à l'approche des fêtes de fin d'année, révélant une anxiété accrue concernant les questions financières, ainsi que les principales conclusions suivantes :
Près d'un Canadien sur quatre (23 %) est confronté à des difficultés persistantes en matière de sécurité alimentaire et de logement, ce qui accroît l'anxiété liée au respect des obligations en matière de loyer ou d'hypothèque.
Les préoccupations financières restent un facteur prédominant de la santé mentale, deux Canadiens sur cinq (41 %) indiquant que le ralentissement économique a eu un impact négatif sur leur santé mentale.
Les Canadiens font état d'un accès record aux soins de santé mentale (15 %) - il s'agit des niveaux les plus élevés depuis le passage à la "période de reprise" de la pandémie de COVID-19.
Les facteurs de stress financier ont un impact alarmant sur la santé mentale des Canadiens en difficulté, selon les résultats du sondage 17.
Les données montrent que les indicateurs de santé mentale continuent de stagner par rapport aux derniers sondages. Les niveaux d'anxiété élevée (11 %) et de dépression (9 %) sont restés constants, et le sentiment d'épuisement (23 %) n'a pas changé depuis le début de l'année 2022. Cela indique que la stagnation des améliorations de la santé mentale signalée dans le sondage précédent se poursuit.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du dix-septième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "Comprendre la santé mentale des Canadiens pendant COVID-19 et au-delà : Sondage 17" en cliquant sur le lien ci-dessous !
Les résultats du sondage 16 publiés aujourd'hui révèlent une stagnation de la santé mentale des Canadien(ne)s.
Les données montrent que les indicateurs de santé mentale continuent de stagner par rapport aux derniers sondages. Les niveaux d'anxiété élevée (11 %) et de dépression (9 %) sont restés constants, et le sentiment d'épuisement (23 %) n'a pas changé depuis le début de l'année 2022. Cela indique que la stagnation des améliorations de la santé mentale signalée dans le sondage précédent se poursuit.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du sizième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "Comprendre la santé mentale des Canadiens pendant COVID-19 et au-delà : Sondage 16" en cliquant sur le lien ci-dessous !
Les résultats du 15e sondage démontrent une possible "nouvelle normalité" pour la santé mentale des Canadiens.
Les données démontrent que les indicateurs de santé mentale restent stables (ou se sont légèrement détériorés) après une longue période d'amélioration. Les niveaux d'anxiété élevée (10 %) et de dépression (8 %) sont restés constants, et le fait de ne pas bien gérer le stress (14 %) n'a pas changé depuis notre dernière collecte de données en novembre 2022. Les prochains sondages permettront de valider si cela indique une nouvelle normalité pour les Canadiens, ou le résultat de changements transitoires, tels qu'un impact saisonnier ou l'état économique actuel.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du quinzième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "Comprendre la santé mentale des Canadiens pendant COVID-19 et au-delà : Sondage 15" en cliquant sur le lien ci-dessous !
Bien que les effets du COVID-19 sur la santé mentale s'améliorent, de nouveaux défis présentent des facteurs négatifs pour la santé mentale des Canadiens.
Les indicateurs relatifs à l'anxiété et à la dépression s'améliorent lentement, comme le démontre le sondage 14 de Recherche en santé mentale Canada (RSMC). Cependant, de nouveaux défis, comme l'inflation et l'insécurité alimentaire, ont un impact négatif sur la santé mentale des Canadiens. Les données ont été recueillies dans le cadre du quatorzième sondage de la RSMC du 21 octobre au 1er novembre 2022.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du quatorzième sondage de la RMSC dans notre série de sondages en cours intitulée "Comprendre la santé mentale des Canadiens grâce à COVID-19 et au-delà : Sondage 14" en cliquant sur le lien ci-dessous !
Alors que nous entrons dans la période de rétablissement de la pandémie, la RSMC déplace son attention de la santé mentale en relation avec COVID-19, vers une approche plus actuelle et continue.
Les indicateurs relatifs à l'anxiété et à la dépression s'améliorent considérablement, comme le démontre le sondage 13 de la Recherche en santé mentale Canada (RSMC). Depuis que le Canada a commencé à entrer dans la période de rétablissement post-pandémique, les niveaux élevés actuels d'anxiété auto-évalués ont presque diminué de moitié (21 % à 11 %) et les niveaux élevés de dépression auto-évalués ont diminué d'un tiers (de 14 % à 9 %) par rapport aux niveaux observés pendant la pandémie.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du treizième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur " Comprendre la santé mentale des Canadiens grâce à COVID-19 et au-delà : Sondage 13 " en cliquant sur le lien ci-dessous!
Notre douzième sondage reflète une période où les mises à jour quotidiennes de COVID-19 sont devenues moins fréquentes, et où les mesures de santé publique liées à la pandémie se sont considérablement allégées ou ont pris fin dans toutes les provinces.
La santé mentale des Canadiens continue lentement à s'améliorer. Le pourcentage de Canadiens qui connaissent des niveaux élevés d'anxiété auto-évaluée est passé de 24% en décembre 2021 à 21% en avril 2022. Il s'agit des niveaux les plus bas observés dans l'échelle d'auto-évaluation et les dépisteurs cliniques en matière de dépression et d'anxiété depuis avril 2021. Moins de Canadiens subissent des perturbations causées par des problèmes de santé mentale. Le retour aux niveaux de santé mentale observés avant la pandémie demeure un espoir lointain.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du douzième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "La santé mentale en crise: comment la COVID-19 affecte les Canadiens" en cliquant sur le lien ci-dessous!
Notre 11e sondage indique que la préoccupation des Canadiens à l’égard de la COVID-19 est plus faible que jamais ; toutefois, le quart des répondants affirment que leurs problèmes de santé mentale connexes augmentent.
Plus de 3 500 Canadiens ont participé au onzième sondage national mené par Recherche en sante mentale Canada (RSMC).Cette collecte, qui prend fin le 22 février 2022, représente une période où les répercussions du variant Omicron avaient commencés à diminuer, et la majorité des Canadiens admissibles avaient reçu leur vaccin de rappel contre la COVID-19.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du 11e sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "La santé mentale en crise: comment la COVID-19 affecte les Canadiens" en cliquant sur le lien ci-dessous!
Quand Omicron a commencé à monter en flèche, il y a eu peu de réaction dans les indicateurs de santé mentale. Ils restent toujours stables, mais l'amélioration s'est arrêtée.
Plus de 3 700 Canadiens ont participé au dixième sondage national menee par Recherche en sante mentale Canada (RSMC).
Notre dixième sondage national a été réalisé pendant une période où les cas d'Omicron étaient en hausse, doublant presque tous les 2 ou 3 jours, mais où les restrictions renforcées du COVID-19 n'avaient pas encore été remises en œuvre dans la plupart des provinces.
Malgré l'arrivée d'une nouvelle variante, l'anxiété et la dépression autodéclarées sont restées stables; la peur de contracter le virus n'a que peu ou pas augmenté, et la préoccupation générale des Canadiens à l'égard du COVID-19 n'a que légèrement augmenté, passant de 66 % à 70 %.
Apprenez-en davantage sur les principales conclusions du 10e sondage de la CDPM dans notre série de sondages en cours sur "La santé mentale en crise: comment la COVID-19 affecte les Canadiens" en cliquant sur le lien ci-dessous!
Notre 9e sondage révèle que 47 % des Canadiens affirment que la preuve de vaccination a eu un effet positif sur leur santé mentale.
Dans le plus récent sondage mené du 22 octobre au 3 novembre 2021, le 9e des 12 sondages de suivi de la santé mentale des Canadiens pendant la pandémie, avec l’appui de Santé Canada, Recherche en Santé Mentale Canada (RSMC) a cerné de nouveaux facteurs clés.
Le Dr David Dozois, PhD., CPsych, directeur du Programme d’études supérieures en psychologie clinique à l’Université Western, a participé à la conception de l’enquête. Il ajoute : « Les données démontrent que tant que la COVID-19 sera avec nous, un nombre important de Canadiens continueront d’être touchés en matière de santé mentale. ».
Ce n’est qu’une des principales conclusions du neuvieme sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "La santé mentale en crise : l'impact du COVID-19 sur les Canadiens". Le sondage recueille les perceptions des Canadiens sur leurs niveaux d'anxiété et de dépression tout au long de la pandémie afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale.
(Les données du sondage 9 ont été receuillis entre le 22 octobre et le 3 novembre 2021).
Notre 8e sondage est le premier où la majorité des personnes interrogées (84%) étaient doublement vaccinées, et a enregistré une nette disparité dans la santé mentale déclarée entre les groupes vaccinés et non vaccinés.
Les personnes non vaccinées indiquent un nombre significativement plus élevé de symptômes de détresse mentale, ainsi que des niveaux plus élevés d'anxiété et de dépression par rapport aux personnes non vaccinées. La préoccupation concernant les restrictions liées au virus a été indiquée par une proportion significativement plus élevée (28%) de personnes n'ayant pas été vaccinées par rapport à celles qui l'ont été (12%). 75 % des personnes vaccinées se disent préoccupées par la menace potentielle persistante du COVID-19, contre 38 % des personnes non vaccinées.
Ce sont là quelques-unes des principales conclusions du huitième sondage de la RSMC dans notre série de sondages en cours sur "La santé mentale en crise : l'impact du COVID-19 sur les Canadiens". Le sondage recueille les perceptions des Canadiens sur leurs niveaux d'anxiété et de dépression tout au long de la pandémie afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale.
(Les données du sondage 8 ont été recueillies du 17 au 21 août 2021).
Pour les travailleurs de première ligne, la prévalence de du diagnostic d’un problème de santé mentale est en hausse significative de 30% à 40% depuis le sondage 6. Nos recherches précédentes indiquent que la profession la plus fréquemment diagnostiquée est celle des infirmières et infirmiers autorisés
Notre plus récent sondage indique également des différences d'âge dans la prévalence des déclarations d'anxiété et de dépression. Il s'agit de notre premier sondage dans lequel l'anxiété autodéclarée est en baisse significative depuis le début de la pandémie - passant de 28 % à 24 % des Canadiens. Une analyse plus approfondie indique que les jeunes Canadiens continuent d'indiquer les niveaux d'anxiété et de dépression les plus élevés de tous les groupes d'âge ; à l'inverse, la cohorte des 55 ans et plus signale des niveaux d'anxiété et de dépression beaucoup plus bas depuis le dernier sondage, au plus fort des lockdowns. C'est ce groupe d'âge plus élevé qui est à l'origine de cette réduction des niveaux d'anxiété.
Pour la première fois, Poll 7 a pu recueillir des données auprès des jeunes de 16 et 17 ans, qui ont signalé les niveaux les plus élevés d'anxiété et de dépression parmi tous les groupes d'âge (30 % d'anxiété, 25 % de dépression), ainsi que les niveaux les plus élevés d'idées suicidaires. Il est intéressant de noter que ce groupe rapporte une basse prévalence de diagnostics formels de santé mentale, ce qui pourrait indiquer un manque de diagnostic.
(Les données de l'enquête 8 seront collectées en août 2021).
Résultats de notre sixième étude :
Un tiers des Canadiens déclarent que leur santé mentale affecte leur capacité à fonctionner, la vie sociale et familiale étant la plus touchée
Parmi ces Canadiens encore à l'école ou sur le marché du travail, 8 % ont indiqué avoir perdu des jours d'école ou de travail à cause de leur santé mentale et 30 % ont indiqué que leur productivité est considérablement réduite.
Ce sont là quelques-unes des principales conclusions du sixième sondage de MHRC dans notre série de sondages en cours sur « La santé mentale en crise : l'impact de COVID-19 sur les Canadiens. » Le sondage recueille les perceptions des Canadiens sur leurs niveaux d'anxiété et de dépression afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale.
(Données du sondage 6 collectées du 20 au 28 avril 2021.)
Résultats de notre cinquième étude :
Les Canadiens font état des niveaux d'anxiété et de dépression les plus élevés à ce jour, avec une dépression nettement plus élevée que lors de la première vague de COVID
Les Canadiens citent leurs plus hauts niveaux d'anxiété (25%) et de dépression (17%) à ce jour, couvrant à la fois l'anxiété et la dépression autodéclarées et diagnostiquées. Cela signifie que la proportion de Canadiens qui ont déclaré leur niveau de dépression comme étant élevé a augmenté de 70 % depuis le sommet de la première vague de COVID.
Ces résultats figurent parmi les principales conclusions d'un cinquième sondage réalisé par Recherche en santé mentale Canada (RSMC) dans le cadre d'une série de sondages en cours sur « La santé mentale en crise : l'impact de COVID-19 sur les Canadiens. » Le partenariat avec Santé Canada a permis au RSMC de poursuivre la collecte de données jusqu'en mars 2022. Le sondage permet de connaître la perception qu'ont les Canadiens de leur niveau d'anxiété et de dépression afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale.
(Données du sondage 5 collectées du 1er au 8 février 2021.)
Résultats de notre quatrième étude :
Les Canadiens indiquent les niveaux les plus élevés d'anxiété et de dépression à ce jour - mais restent optimistes quant à leur capacité à se rétablir après la pandémie
Les Canadiens déclarent leurs niveaux les plus élevés d'anxiété (23 %) et de dépression (15 %) - au-dessus des niveaux au sommet de la première vague de COVID. Cependant, la plupart sont optimistes quant à leur rétablissement une fois la pandémie terminée, 65 % des Canadiens indiquant qu'ils restent très résilients face à des défis tels que COVID-19.
Ces résultats figurent parmi les résultats clés d'un quatrième sondage réalisé par Recherche en santé mentale Canada (RSMC) dans le cadre d'une série de sondages en cours sur « La santé mentale en crise: l'impact de COVID-19 sur les Canadiens. » Ce sondage permet de connaître la perception qu'ont les Canadiens de leur niveau d'anxiété et de dépression afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale.
(Données du sondage 4 collectées du 10 au 18 décembre 2020.)
Résultats de notre troisième étude :
Le plus grand impact positif sur la santé mentale dans la deuxième vague de COVID est de passer du temps à l'extérieur - alors comment la météo hivernale et un autre confinement éventuel affecteront-ils les Canadiens ?
Les Canadiens déclarent que passer du temps à l'extérieur (39 %) a un effet plus positif sur leur santé mentale que toute autre activité. Les jeunes (18 à 34 ans), les travailleurs de la santé et ceux qui ont indiqué ne pas suivre les directives de la COVID-19 font état de niveaux élevés d'anxiété et de dépression.
Ce sont là quelques-unes des résultats clés d'un nouveau sondage publié. Il s'agit du troisième sondage du RSMC dans une série sur « La santé mentale en crise : l'impact de COVID-19 sur les Canadiens. » Ce sondage permet de connaître la perception qu'ont les Canadiens de leur niveau d'anxiété et de dépression afin d'identifier et d'évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale. Le quatrième sondage permettra de recueillir des données au début du mois de décembre.
(Données du sondage 3 collectées du 22 au 28 octobre 2020.)
Résultats de notre deuxième étude :
Aucune baisse du nombre de Canadiennes et Canadiens vivant de haut niveau d’anxiété et de dépression à la fin de la première vague de la pandémie.
Le nombre de Canadiennes et de Canadiens signalant un haut niveau d’anxiété et de dépression est demeuré stable malgré l’allègement des restrictions au cours de cet été. C’est l’une des principales conclusions de notre deuxième étude publiée le 1er octobre dans le cadre de notre série de sondages nationaux, « La santé mentale en crise : l’impact de la COVID-19 sur les Canadiens. »
L’objectif de cette étude de RSMC était de prendre compte de la perception des Canadiennes et de Canadiens sur leur niveau d’anxiété et de dépression, et de déterminer puis d’évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale. RSCM fera également des sondages de suivi dans le but de suivre l’évolution des problèmes de la santé mentale pendant la pandémie et collectera des données de nouveau à la mi-octobre pour vérifier les effets de cette seconde vague.
(Données du sondage 2 collectées du 21 au 31 août 2020.)
L'Alberta, le Canada Atlantiques et l’Ontario enregistrent la plus forte augmentation des niveaux d'anxiété et de dépression depuis la COVID-19
L'Alberta, le Canada atlantique et l'Ontario signalent les niveaux d'anxiété et de dépression les plus élevés au Canada, tandis que le Québec enregistre la plus faible augmentation des niveaux d'anxiété et de dépression. Parmi les Canadiens récemment au chômage, 57 % citent l'impact négatif de la perte d'emploi sur leur santé mentale.
Ces résultats et d'autres conclusions clés figurent dans le rapport sommaire et complet du sondage « La santé mentale en crise : l'impact de COVID-19 sur les Canadiens, » publié le 19 mai par Recherche en santé mentale Canada.
Le sondage du RSMC a été conçu pour saisir la perception qu'ont les Canadiens de leur niveau d'anxiété et de dépression, et pour identifier et évaluer les facteurs qui influencent la santé mentale. Cette enquête inaugurale s'inscrit dans le cadre d'un effort d'un an visant à suivre la crise de la santé mentale COVID-19.
(Données du sondage 1 collectées du 22 au 28 avril 2020.)